Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme Femmes fessées
il y a 4 ans
Frédéric, mon frère, a 31 ans (j'en ai 33) et Sylvie, sa femme en a 25, mais souvent elle est "gamine" et je suis la cible privilégiée de ses espiègleries.
J'ai donc passé le week-end de la Pentecôte avec mon frère et ma belle soeur, qui bien sur n'a pas arrêté de me taquiner. Sans doute inspiré par mes récentes lectures ici, je l'ai à plusieurs reprises menacée de lui donner une fessée si elle continuait à faire l'e n f a n t, sans résultat bien sur.
Lundi, mon frère qui est informaticien a été appelé en fin de matinée par sa société suite à je ne sais quel crash sur l'un des serveurs, et nous a donc laissés seuls ma belle-soeur et moi, avec Marine, leur fille de 3 ans 1/2, ma nièce. "Faites manger Marine, mais attendez-moi pour manger, ça ne devrait pas entre long" nous a t il dit en partant.
A midi, Marine a été insupportable, et a fait les pires bêtises pendant que Sylvie essayait de la faire manger, tant et si bien qu'elle a eu droit a une petite fessée
Pan ! Pan ! Pan !
Après 3 claques administrées par sa mère sur son derrière potelé, elle a compris qui commandait, et a fini sagement son repas.
On venait de la coucher pour sa sieste quand Frédéric a appelé en nous disant que finalement, ça serait plus long que prévu, et que non seulement on devrait manger sans lui, mais qu'en plus nos projets pour l'après midi étaient ruinés.
Avec la chaleur, et aussi à cause de la contrariété de l'après midi gâché je n'avais pas vraiment faim, aussi je m'avachissais devant la télé, après avoir mis en route un DVD. Super, c'est "Drôles de Dames", je ne l'ai pas vu au ciné.
C'est là que Sylvie a commencé à venir me casser les pieds de nouveau. Encore une fois je lui ai dit que j'allais lui faire rosir les fesses si elle continuait. Elle a trouvé très drôle de me dire "Même pas vrai" en me donnant une petite claque sur l'épaule. D'un geste vif, j'ai attrapé son poignet, et je l'ai regardée dans les yeux, en lui disant froidement "tu crois ?".
Elle a essayé de tirer et de secouer son bras pour que je la lâche, mais franchement, elle doit peser 60 Kg alors que j'en fais le double, et avec quelques années de judo derrière moi, je sais ce que ça veut dire de maintenir une prise. Je sais que c'est pas juste, mais pour être tout à fait franc, à ce moment là, je m'en fiche !
Tout en restant assis, je lui ai fait une rapide torsion du poignet puis, j'ai légèrement tiré en avant. Elle a essayé de résister un peu, puis fatalement ce qui devait arriver arriva, elle s'est affalée sur mes genoux avec un grand "Aïe !!!" Sans perdre de temps, j'ai attrapé son bras droit de la main gauche, et le lui ai remonté dans le dos pour l'empêcher de se relever. Nous en sommes là, moi assis au milieu du canapé, elle allongée en travers de mes genoux, incapable du moindre mouvement. Je savoure le moment un instant, mais elle apprécie moins :
"Bon ça va, t'as gagné, t'es le plus fort, laisse moi descendre maintenant je te laisserai tranquille" J'hésite, je me tâte, je me demande si je dois et même surtout si je peux... et puis finalement, pourquoi pas !
Je récapitule tout ce que j'ai lu, et je décide de lui donner une belle vraie fessée, comme celles des récits. Je lui tapote les fesses, et lui dit :
"Des clous ma vieille, depuis qu'on se connaît, tu te comportes comme une sale gamine mal élevée. Je trouve que j'ai été très patient, trop même car tout à l'heure, Marine a eu sa fessée au bout de 10 minutes, et toi en 5 ans tu n'as rien eu."
Silence.
Qui se prolonge.
J'éteins la télé avec la télécommande, tant pis pour Charly, mais moi aussi j'ai une Drôle de Dame dont je dois m'occuper. Tout doucement, je fais passer ma main sous son ventre, à la recherche de sa ceinture. Ca va être coton de lui enlever son jeans avec une seule main, mais j'essaye. Et là grosse surprise, je la sens qui prend appuis sur ses genoux et qui soulève son ventre, juste un peu, l'air de rien, mais quand même. Du coup, j'ai un moment de flottement ! J'imaginais qu'elle allait se débattre, se tortiller et gesticuler dans tous les sens, et voilà qu'elle me facilite la tache !
Je baisse son pantalon, et j'ai sous les yeux ses petites fesses, bien rondes, dans leur petite culotte en coton blanc avec des papillons de toutes les couleurs. On dirait une vraie fillette ! Franchement, il doit pas s'ennuyer le frangin ! Je passe le bout des doigts sur ses fesses, une légère caresse sur cette petite culotte que j'ai bien envie lui retirer...
-
N'en profite pas espèce de vic...
-
Silence ! Shlack !
-
Aïe !
Elle n'a pas eu le temps de finir de me traiter de vicieux que ma main s'est abattue en plein sur sa fesse gauche. D'un ton sec, je lui explique mon geste :
"Ecoute-moi bien Sylvie, tant que tu es sur mes genoux, tu n'as pas le droit de parler si je ne te le demande pas, tu n'as pas le droit de bouger si je ne te le demande pas, tu n'as qu'un seul droit, celui de recevoir ta punition. C'est compris ?"
Un petit "oui" timide vient en écho a ma question. "Bon, puisque tu es d'accord, je lâche ton bras (ce que je fais), et je vais donc te donner ta fessée. Tu vas recevoir 20 claques sur tes fesses, et tu les compteras. Si tu te trompes, tu en recevras 2 de plus. Si tu te débats, tu en recevras 2 de plus. Si tu essayes de te protéger avec tes mains, tu en recevras 2 de plus. Si tu fais quoi que ce soit à part rester là a recevoir ta fessée, ou si tu dis quoi que ce soit à part le décompte des claques, tu en reçois 2 de plus. C'est compris ?
"Non mais ça va pas non ?
"Bon, on commence, j'ai dit c'est compris ?
"Et moi j'ai dit ça va pas ?
Shlack !
"22, compris ?
"Creve !
Shlack !
"24 Compris ?
"Aïe !
Shlack !
"26 Compris
"oui (d'une petite voix)
"Bien, on peut commencer
"Hé, il en reste que 23, je viens d'en prendre 3 !
Shlack !
"28 Ne parle pas, on n'avait pas commencé le décompte !
Et là, rien. Par un mot. Elle accepte les règles du jeu !
Puisqu'elle est si soumise, je décide de pousser un peu plus loin.
"Ok Sylvie, encore un détail et on y va. Je glisse un doigt sous l'élastique de la culotte, et je vais commencer à la lui retirer quand elle envoie ses bras en arrière, cramponne sa culotte, et me dit "Non, hors de question que tu me l'enlèves !"
Shlack !
"34, Ne bouge pas, ne parles pas, ne mets pas tes mains ! Compris ?"
Silence. Visiblement elle hésite. Je sens que cette fessée, elle en a envie, mais elle ne devait pas avoir imaginé qu'elle la recevrait cul nu !
Je repasse mon doigt sous l'élastique, et je tire tous doucement. Ses doigts résistent... puis tout doucement lâchent prise. Elle reste là, les mains sur ses fesses pendant que je tire la culotte vers ses cuisses. Oui mais voilà, sa position sur mes genoux m'empêche de la lui enlever totalement.
"Soulève-toi que je te l'enlève"
En tremblotant elle se remet en appuis sur les genoux, et quand je fais glisser l'étoffe jusqu'a ses chevilles elle tressaute, et j'entends un sanglot. Elle pleure ! Sadique, je fais durer l'attente, et je mate son petit cul qui est déjà un peu rose à cause de la demi-douzaine de claques qu'il a reçu. Je pose ma main dessus, je sens les muscles fessiers qui se contractent, la chair de poule de sa peau qui frémit...
"Bon Sylvie, on y va. Enlève tes mains, tu y es ? Elle me produit un vague coassement que je ne peux pas accepter et ne bouge pas. Shlack !
"Tu y es ? Répond !
Elle respire 2 ou 3 fois à fond, rassemble ses f o r c e s, se motive, ramène ses mains, plonge son visage dedans, déglutit pour avaler la boule qu'elle a dans gorge qui l'empêche de parler et me répond un "Oui" tout à fait acceptable même si il est un peu étouffé.
"Bien, alors on y va.
Shlack !
Et j'attends... rien !
"Sylvie ? Tu ne comptes pas ? D'accord, ça fera 36 !
"Si je compte ! 1 !
"Tu n'as pas compté, et là tu viens de parler, ça fera 38!
Rien, elle ne dit rien.
Shlack !
"2 !
"Non ! Ou tu as vu qu'on commençait à compter à partir de 2 ? On commence à 1 ! Tu t'es trompée, ça fera 40. Commence à compter à 1 s'il te plait
Shlack !
"1 !
Shlack !
"2 !
Je la fesse d'abord doucement, même si les quelques claques qu'elle a déjà reçues l'ont préparée, puis de plus en plus fort, j'alterne le haut des cuisses, celui des fesses, la droite, la gauche...
Shlack !
"15 !
J'ai la main droite en feu, et je n'ose imaginer ce qu'elle peut ressentir, mais elle encaisse bravement les coups. Elle pleure et compte au fur et à mesure que les claques tombent, sans se tromper...
Shlack !
"22 !
Elle contracte ses fessiers tant qu'elle peut, et de temps en temps, je caresse un peu ses lobes charnus si rouges, et si tendres pour les détendre un peu. Puis je continue...
Shlack !
"39 !
Shlack !
"40 !
Aussitôt, elle pose ses mains sur ses pauvres fesses maltraitées. Je m'y attendais, alors, implacable, je lui dis
"Je n'ai pas dit que c'était fini, ça fera 2 de plus !
Elle commence à se tourner vers moi, mais elle doit lire dans mon regard que je vais lui annoncer dans 1 seconde qu'elle va recevoir encore 2 claques de plus, alors elle se remet en position et ramène ses mains.
"C'est bien Sylvie. Tu es une gentille petite. Plus que 2 et c'est fini.
Shlack
"41 !
Shlack
"42 !
Je lui ai asséné les deux derniers de toutes mes f o r c e s mais elle n'a pas bronché, se contentant de pleurer maintenant que la punition est finie. Je lui caresse tout doucement les fesses, elles sont brûlantes, rouges, et je me rends compte que je suis très "excité", et que si elle reste là sur mes genoux, elle va s'en rendre compte.
"C'est fini, tu peux te relever.
Elle re plaque ses mains sur ses fesses, et les caresse pour atténuer la brûlure, puis avec des gestes lents, elle glisse de mes genoux, se met à 4 pattes sur le carrelage et se relève. Elle se baisse pour remonter sa culotte quand j'aperçois un détail. Je le guettais bien sur, même si je n'osais l'espérer, après tout, je suis quand même le frère de son mari !
"Stop !
Elle se fige et me regarde étonnée, ne comprend visiblement pas.
"Qu'est ce qu'il y a ? Tu as dit que c'était fini ?
Je m'avance, "Ne bouge pas s'il te plait, je voudrais vérifier un truc sur tes fesses."
Elle reste là, de profil par rapport à moi, légèrement penchée en avant, les mains tendues vers sa culotte à ses chevilles, le regard interrogateur. Tout doucement, j'avance ma main, la fait passer sur ses fesses, puis descends le long du sillon. Elle resserre ses cuisses, mais trop tard, j'ai senti l'humidité du bout de mon doigt. Je lui présente mon majeur, il y a une petite goutte au bout !
"Quoi ? Je te punis et toi tu mouilles ? Mais t'es pire qu'une bête ! Attend un peu tu vas voir !
Je la tire brutalement vers moi, sa culotte et son jean lui entravent les cheville et elle tombe à genoux, le buste en appuis sur mes cuisses. Sans ménagement, j'attrape son bassin, la met à 4 pattes sur le canapé, la tête et les mains de part et d'autre de mes genoux, puis lui baisse la tête contre l'accoudoir, et elle reste là, son cul en l'air juste a coté de moi, en face de mon visage. Je souffle tout doucement sur les fesses, puis sur le petit trou que je vois en gros plan, je plaque les mains sur les fesses brûlantes, les écarte, ce qui me donne une vue imprenable sur son nid d'amour dont le jus dégouline le long des cuisses. Ma bouche s'approche de sa petite rondelle qui frémit, et j'y dépose un petit baiser, puis je lâche ses fesses, et introduit vivement un doigt dans son sexe qui m'engloutit sans la moindre résistance. Sa respiration s'accélère. Je ressors mon doigt, il est trempé, et je me dis que tout seul il doit s'ennuyer, je le réinsère donc avec un second. Elle se crispe, se contracte, m'écrase les doigts que je fais tourner, aller et venir de plus en plus vite. Elle commence à gémir, et je sens qu'elle va jouir d'une seconde a l'autre.
Je retire alors mes doigts, et lui caresse de nouveau les fesses, puis tout doucement mes doigts prennent la direction de son anus.
"Non ! pas ça, je n'ai jamais...
Mais à la façon dont elle le dit, celle dont elle mord sa lèvre inférieure, je vois bien qu'elle meurt d'envie d'essayer aussi ce trou là. Tout doucement, millimètre après millimètre, j'entre en elle par ce qui jusqu'a présent n'était qu'une sortie. Je sens le muscle qui se contracte, et se détend tout à tour, au fur et à mesure qu'elle accepte la progression mon index. Quand il est entré jusqu'à la garde, je le fais tourner pour lui dilater l'orifice, puis le ressort, et encore une fois l'introduit, le ressort, puis joignant une fois encore l'index et le majeur, j'entreprends de faire entrer les deux. C'est dur, c'est vrai que c'est la première fois par là, mais je pousse doucement sur mes doigts qui progressivement rentrent. Mon autre main libre prend de nouveau la direction de son sexe, et d'un coup j'enfonce là aussi 2 doigts.
Elle a glissé les mains sous son t-shirt, caresse et pince ses seins dont j'aperçois par instants les pointes dures et tendues. Tout doucement, je fais bouger mes deux paires de doigts dans son ventre et dans ses reins, je veux contrôler son plaisir, le laisser monter tout doucement. Elle recommence à gémir, sa respiration est haletante, elle ondule, son ventre est devenu une vraie fontaine qui se déverse sur ma main, coule le long de mon poignet. C'est le moment, elle va jouir... je retire vivement mes doigts. Instinctivement elle se cambre, tortille son posterieur, et me dit "Vas y ! Prend moi !" dans un râle de désir.
Je me dégage en glissant sous son ventre, et viens me placer derrière elle. Je pose mes mains sur ses hanches. Elle est tellement cambrée, tellement désirable à m'offrir ainsi son intimité. D'un ton cassant lui dit d'aller se mettre au coin, à genou, les mains sur la tête et le cul à l'air. Interdiction de parler ou de bouger avant que je le lui dise. Elle me lance un regard mauvais, frustrée que je la laisse ainsi en plan au bord de l'orgasme, mais après tout, je ne suis pas sensé faire ça, c'est une punition, pas une partie de plaisir, et en plus c'est la femme de mon frère !
Tandis qu'elle obtempère, je remets le film en route, et un petit quart d'heure après, je lui dis de se relever, que la punition est finie. Pendant qu'elle se rhabille, j'ai une dernière fois l'occasion de reluquer ce joli petit cul que j'ai doublement maltraité tout à l'heure. Elle veut aller se changer, mais je le lui interdit, ça lui fera du bien de mariner dans son jus jusqu'à ce soir ! Alors elle vient s'asseoir à coté de moi, humiliée, et on regarde la fin du film.
Quand mon frère rentre dans l'après-midi je profite d'une absence de quelques minutes de Sylvie partie chercher des cocas à la cave pour tout lui raconter. Il fait un peu la gueule, puis finalement se détend et comprend que tout ce que j'ai fait c'est donner une petite leçon à sa femme.
Et en plus, dans l'état ou elle est, il risque de passer une super nuit, mais ça, ça ne me regarde pas.
Marc
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